Des plaintes judiciaires en rafale devraient s’abattre bientôt sur le Front Polisario

Selon plusieurs informations concordantes, réunies par www.camps-sequestres.org, le Front Polisario pourrait voir dans les jours qui suivent une avalanche de plaintes déposées à l’encontre de ses dirigeants pour violations des droits humains, kidnapping, séquestration, et tortures. A l’origine de cette vague massive serait la prise de conscience par certains anciens membres de la Guérilla des pratiques d’esclavage massives dans les camps, récemment dévoilées par deux journalistes australiens, Violetta Ayala et Daniel Fallshaw suite à leur séjour prolongé au sein des camps administrés par le Front Polisario. Cette émergence du dossier de l’esclavage n’est pas le fruit du hasard puisque ces pratiques ont longuement été dénoncées par le Maroc. Il aura fallu toute la détermination de plusieurs organisations des droits de l’homme pour que ce cas soit maintenant au devant de la scène du conflit du Sahara Occidental, et prenne toute la place qu’il mérite, dévoilant des pratiques d’un autre âge, pudiquement cachées par le mot « culture » par les dirigeants du Front Polisario. Cette pratique est d’autant plus mise en lumière suite à l’adoption par la Mauritanie d’un moratoire historique interdisant formellement tout type d’esclavage ou de servage. Cette évolution importante, doublée d’une prise de conscience mondiale ne semble pas avoir été prise au sérieux par les maîtres de Tindouf, qui se contentent d’égrener les démentis, refusant même de visionner les images prises par les journalistes australiens.


Cependant, il semble bien que la justice va devoir jouer pleinement son rôle dans ce dossier, tant les preuves amassées à l’encontre de la Guérilla sont prégnantes.

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