
Nous sommes bien en 2007, bienvenue dans l’enfer des camps du Polisario.
Depuis 30 ans, au mépris de tous les droits humains les plus élémentaires, des milliers de personnes issues du Sahara Marocain sont enfermées, leurs gestes épiés, leurs déplacements contrôlés, leur nourriture revendue, leurs esprits conditionnés, tout cela, pour un but, un seul : permettre à la République Algérienne Démocratique et Populaire d’assouvir sa stratégie de puissance régionale.
Comment cette escroquerie de l’histoire a pu se dérouler dans le silence assourdissant de la communauté internationale ? La réponse est complexe, elle part d’Alger, passe par la Havane, a des ramifications à Lagos, transite par Pretoria, et se retrouve au conseil de sécurité de l’ONU, alors que le fond de l’affaire est d’une limpidité cristalline : aujourd’hui, en 2007, des milliers de personnes sont enfermés dans des camps, dirigés par le même clan depuis les origines, et surveillés par une armée de métier.
Intimidations, tortures, disparitions inexpliquées, toute la gamme d’exactions a été exploitée par les dirigeants du Front Polisario pour assurer un contrôle total sur les corps et les esprits des habitants des camps de Tindouf. Aujourd’hui, il est temps que cela cesse…
Comment cette escroquerie de l’histoire a pu se dérouler dans le silence assourdissant de la communauté internationale ? La réponse est complexe, elle part d’Alger, passe par la Havane, a des ramifications à Lagos, transite par Pretoria, et se retrouve au conseil de sécurité de l’ONU, alors que le fond de l’affaire est d’une limpidité cristalline : aujourd’hui, en 2007, des milliers de personnes sont enfermés dans des camps, dirigés par le même clan depuis les origines, et surveillés par une armée de métier.
Intimidations, tortures, disparitions inexpliquées, toute la gamme d’exactions a été exploitée par les dirigeants du Front Polisario pour assurer un contrôle total sur les corps et les esprits des habitants des camps de Tindouf. Aujourd’hui, il est temps que cela cesse…