C’est avec tristesse que la communauté internationale a appris que des arrestations massives ont été effectuées par le Front Polisario le 1er Avril 2008, suite à des soupçons d’éventuels départs vers le Maroc.
En guise de poisson d’avril, c’est une bien mauvaise surprise que la Guérilla a réservé aux habitants des camps, déboulant, toutes sirènes hurlantes, dans la nuit, afin de procéder à des « vérifications » concernant d’éventuels « préparatifs » pour rejoindre le territoire marocain via la Mauritanie.
Après ce contrôle approfondi, 30 personnes ont été appréhendées, puis emmenées vers une destination inconnue, probablement la prison militaire située à 15 Kilomètres au Sud-Ouest du camp de Rabouni, chef lieu de la guérilla. Trois jours après, les familles sont encore sans nouvelles de leurs proches arrêtés et réclament, en vain, qu’on leur donne de leurs nouvelles, ayant abandonné l’idée de pouvoir les voir. Cette vague d’arrestations, ordonnée par le comité exécutif du Front Polisario suite à des informations relatives à d’éventuels ralliements au Maroc, a déclenché des manifestations spontanées au sein des camps, les sahraouis réclamant que les libertés fondamentales soient restaurées.
En guise de poisson d’avril, c’est une bien mauvaise surprise que la Guérilla a réservé aux habitants des camps, déboulant, toutes sirènes hurlantes, dans la nuit, afin de procéder à des « vérifications » concernant d’éventuels « préparatifs » pour rejoindre le territoire marocain via la Mauritanie.
Après ce contrôle approfondi, 30 personnes ont été appréhendées, puis emmenées vers une destination inconnue, probablement la prison militaire située à 15 Kilomètres au Sud-Ouest du camp de Rabouni, chef lieu de la guérilla. Trois jours après, les familles sont encore sans nouvelles de leurs proches arrêtés et réclament, en vain, qu’on leur donne de leurs nouvelles, ayant abandonné l’idée de pouvoir les voir. Cette vague d’arrestations, ordonnée par le comité exécutif du Front Polisario suite à des informations relatives à d’éventuels ralliements au Maroc, a déclenché des manifestations spontanées au sein des camps, les sahraouis réclamant que les libertés fondamentales soient restaurées.
Afin de débloquer la situation, les habitants des camps ont décidé de déléguer un vieux cheikh respecté pour aller parlementer avec les autorités militaires de la Guérilla. Ce dernier est revenu bredouille, et a expliqué que les dirigeants du front ont refusé de le recevoir, lui signifiant qu’il pouvait « aller se faire ***** chez les marocains ».