Le Forum Crans Montana tient à partir de ce vendredi sa 2ème édition consécutive à Dakhla à l’extrême sud du Maroc, avec la participation de plus d’un millier de participants, dont 850 personnalités étrangères représentant 131 pays et 27 organisations internationales et régionales.
Parmi les participants, indiquent les organisateurs dans un communiqué, figurent des personnalités de haut rang, issues de 41 pays d’Afrique, de 32 pays d’Europe, de 35 pays d’Asie et d’Océanie, de 23 pays du continent américain.
Après le succès éclatant de la précédente édition tenue l’année passée également à Dakhla, les dirigeants de Crans Montana ont retenu comme thème pour cette nouvelle rencontre : « L’Afrique et la coopération Sud-Sud: une meilleure gouvernance pour un développement économique et social durable ».
Les débats et interventions vont ainsi se focaliser sur les défis auxquels est confrontée le continent africain et les moyens à même les surmonter en vue de réaliser les espoirs des populations africaines à travers, entre autres, la mobilisation des énergies positives et la création des synergies constructives afin de développer et de promouvoir des partenariats fructueux et bénéfiques pour tous les pays d’Afrique et d’autres continents.
La thématique retenue pour cette année cadre parfaitement avec l’engagement irréversible du Maroc en faveur du continent africain et sa politique de coopération sud-sud, dans le cadre de laquelle ont été lancés des mégaprojets socio-économiques à l’initiative du roi Mohammed VI, à l’occasion de ses multiples tournées en Afrique subsaharienne.
Les voisins algériens qui ont brillé par leur absence à la première comme à la seconde édition du Forum Crans Montana, ont tout fait pour saborder cette importante rencontre mais sans grand succès.
La présence des représentants de plus de 130 pays et d’une vingtaine d’organisations internationales et régionales est la preuve irréfutable que les manœuvres du régime algérien contre l’intégrité du territoire marocain, ne sont plus solvables et trouvent de moins en moins d’oreilles à l’écoute.