
qui lui procure refuge et soutien logistique. Cette situation est aujourd’hui devenue inacceptable, car derrière les slogans, les odes à la « liberté », est-il utile de rappeler que le Front Polisario a emprisonné pendant plus de 25 ans des citoyens marocains, ne les rendant à leur patrie qu’après une pression très importante de la communauté internationale ? Cette dernière, qui a su faire usage de sévérité, est aujourd’hui à nouveau interpellée par les organisations humanitaires afin de mettre un terme à la situation quasi-carcérale des populations vivant dans les camps de Tindouf. Privés de leurs libertés fondamentales, brimés et humiliés par leurs geôliers, les milliers de sahraouis vivants dans les camps ne peuvent s’exprimer, de peur de s’exposer à des actes de torture et de barbarie. Chacun d’entre nous doit donc être leur voix : M. Bouteflika, ouvrez les camps !